Et ils se ressemblent. Jusque là, rien de bien pertinent. Cela fait deux mois plein qu’il fait beau en Bretagne. Et juin semble prendre le même chemin. La pelouse est grillée comme en août. J’arrose ce que je peux afin de ne pas faire sombrer dans le trépas les plantes nouvellement installées. Les autres doivent se débrouiller toutes seules. L’endroit est trop grand pour envisager d’irriguer tout.
Quelle année ! …
Les locataires rentrent dans les lieux jeudi. Sniff. Je ne verrais une partie du jardin que de loin. Mais avec vigilance quand même. Eh eh.
Je vous laisse admirer les belles du moments et le jardin assoiffé.
Les iris japonais ensata sont en fleur. A contrario des iris germanica classiques, les pétales et les sépales sont accolées, ce qui fait une fleur plate et grande. Vu du haut c’est frappant :
Ces iris aiment un sol frais contrairement aux germinicas. Ils font parti des plantes que j’arrose cette année. Ainsi que les hostas et les hortensia. Pas de bol hein ? Je n’ai planté l’automne dernier que des plantes exigeantes en matière d’eau.
L’avant dernière née. Elle est parfumée, tardive et parfois un fin liserai rouge orne ses pétales. Pas cette fois. La Sarah Bernarth rose est en bouton et je sais pas si j’aurais le temps de lui tirer le portrait avant de partir en congés. Sinon j’ai profité des derniers moments de jouissance de ma maison pour nettoyer l’avant du jardin. Et puis, conclusion logique, j’ai brûlé l’énorme tas de broussaille ainsi récolté.
C’est nickel…. pour le moment.
Le calycanthus Venus est en fleur. Ses drôles de fleurs en forme de fleur de nénuphar sentent théoriquement la fraise. Je dis bien théoriquement.
Je finis le billet en vous montrant des plans généraux du jardin. Je l’ai mis tout beau pour recevoir les locataires et j’ai fait un maximum de photos, preuves à l’appuie de l’état du jardin lors du « transfert de compétence » ;)…
Bonne semaine à tous.